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Diwo, Jean
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Quatrième de couverture:
«Elle était sale, elle était laide, elle sentait le tabac à priser. Elle, c'était la mère Suprin, la concierge. Daumier avait dû la dessiner pour Le Charivari et depuis, elle était restée, méchante et rusée, dans sa loge du 249. Trois chiffres incrustés dans ma mémoire qui situent l'immeuble du faubourg Saint-Antoine où j'ai passé ma jeunesse.» Quand son père rentre de la guerre en 1918 et reprend ses outils de sculpteur sur bois, c'est l'occasion pour le petit Jean Benoist de commencer à découvrir et à conquérir ce qu'il finira par appeler son «cher» faubourg. Lieu de la famille et de l'enfance, des amis et des premiers émois, c'est aussi le lieu d'un Paris aujourd'hui évanoui, celui d'un bois et de ses sculpteurs passionnés. Un Paris dont les lecteurs se plairont à (re)découvrir l'atmosphère.
Mon avis:
D'abord sceptique, les romans sur fond historique avec tout plein de détails ne sont en général pas mon dada. Mais là, j'ai été conquise. Très agréable à lire, parsemé de détails et de descriptions mais sans le «trop». Parfait! Le narrateur raconte son histoire, de quasi sa naissance, jusqu'au moment où il quitte le faubourg Saint-Antoine. L'univers d'un enfant, le benjamin qui a deux grands frères, qui grandit, première école, premiers amours,...
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Véronique
(34 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Roman historique
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7/1/2009
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